Dans les années 90, il n’y avait pas beaucoup de choix dans les peaux d’ascension. Voilé avait mis au point les siennes, les Snake Skin. J’ai skié ça. L’adhérence était phénoménale MAIS la glisse inexistante!!! Les courroies Voilé sont nées à ce moment. Visionnez la vidéo ci-bas pour connaître cette histoire très intéressante!
Les courroies Voilé sont depuis utilisées à toutes les sauces que ce soit pour le ski, le vélos ou la vie de tous les jours!!!
Tributaire du déneigement de la route principale de la Réserve Faunique de Matane par les forestiers et profitant de l’absence ce ceux-ci, en cette fin 2024, il y avait tout juste assez de neige pour skier un des très beaux endroits du secteur, soit le bord du Lac Matane, sur l’ancien chemin qui le longeait. À souhaiter que les responsables continueront à nettoyer ce sentier et que la butte de terre n’est là que pour bloquer les véhicules motorisés. On a eu droit à un 9 kilomètres de plat (ou presque plat!) et d’entendre entre autre des mésanges, des pics ainsi que la glace du lac qui grondait. Il est possible d’allonger en poursuivant sur le même chemin au bout du lac. Merci à ma complice Monique pour l’accompagnement et l’identification des oiseaux!
Fichier GPX pour votre GPS
Une grosse année de ski et un truc d’amis (le pot de yogourt…) m’aura permis de tomber en amour avec mes bottes de cuir Alico à semelle 75mm (March ski boot comme les européens les nomment). Le gros avantage de ce type de botte est la construction cousue traditionnelle qui permet de les réparer. Je ne croyais pas devoir remplacer la semelle après seulement 5 hivers d’utilisation et j’ai quelques paires de bottes sur lesquelles je répartie mes sortie. J’ai trouvé un cordonnier de la région de Montréal qui aurait pu faire le travail MAIS il ne pouvait s’approvisionner en semelle Vibram 75mm.
Quelques recherches sur Google et la confirmation de l’ami Benjamin m’a dirigé vers le cordonnier Dave Page à Seattle (Ouest américain). Il a fait une réparation exceptionnelle! Il a même vissé la plaque de métal (les 3 trous) pour renforcer. Les coutures sont parfaites. Les bottes sont meilleures qu’à leur sortie d’usine!!! Coûteux? Pas mal. 150$ (US) pour le travail en plus du transport dans les 2 directions; 250$ au total environ. J’aurais peut-être trouvé la même botte à moindre coût mais je ne pouvais me résoudre à jeter une botte encore neuve. 1ère sortie et c’est parfait.
NOTE: Seulement possible avec des semelles cousues. Voir Dave Page Cobbler.
Dans le doute pour la couverture neigeuse, une balade au Mont de l’Aigle, c’est une valeur sure!!! Pour plus de détails sur ce secteur, cliquez ici. La vue sur les Albert Sud, Hog’s Back, Lyall, Pic Sterling, Vallières, etc est à couper le souffle, l’ascension est douce et la descente amusante. Nous avons eu droit à une neige de printemps et presque 10C au thermomètre au retour aux voitures. Merci à Hélène, Marjorie et Clémence pour la belle journée!
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Grande vente sur nos produits HIVERNAUX en magasin! Vous voulez profiter d’un vrai deal? C’est le temps!!! 40% de RABAIS sur les produits Voilé. 30% sur les produits Fischer (skis, bottes, fixations). 20% sur les ski-raquettes OAC. 30% sur les FAT bike!
L’hiver 2024 est plutôt particulier (restons positif)! En ce début mars, la logique aurait été pour cette fin de semaine de sortir le vélo mais l’espoir de faire encore du beau ski était trop fort. La Vélo Spécialité mobile a donc pris la route à une heure raisonnable le samedi direction du Parc national de la Gaspésie. Après une jasette avec les préposés du CDS et ensuite avec ma partenaire de ski pour ce voyage, le secteur le plus prometteur est celui du Ernest-Laforce – JA-Pelletier – Macoun à cause de l’altitude, des secteurs boisés et des quelques centimètres de neige tombés.
Pour cette première journée, on monte en direction du Ernest, on le contourne et on fait le sommet du JA-Pelletier. Les conditions de neiges sont très variables en terrain ouvert et les sommets sont presque dénudés. Si on veut un peu de plaisir, l’option la plus logique est de se diriger en zone forestière. On se faufile doucement en crêtant vers un autre petit sommet à l’est, celui-ci sans nom, malgré ses 780 mètres d’altitude, et coup de chance, c’est l’hiver! La neige nouvelle est sèche et juste assez présente pour nous donner de la glisse et du contrôle! C’est vraiment agréable. Le retour vers le stationnement, en sous-bois, se fait trop rapidement; trop courte journée de ski!
Il me semble qu’il y avait un vieux chemin derrière la toilette… Bon moment d’aller voir et de tester mon nouveau GPS! Il y a bien un vieux chemin qui est même très facilement praticable sur une bonne distance puis devient intermittent mais acceptable jusqu’à ce qu’on le perde. Un peut triste de virer de bord… En étudiant le GPS et les applications de nos téléphones, on réalise que nous sommes seulement 60 mètres plus bas que le sommet (800 mètres) d’une autre petite montagne apparemment sans nom. La forêt n’est pas trop dense et assez rapidement, avec quelques manoeuvres plus ou moins gracieuses, nous déposons nos skis sur une cime jamais atteinte par l’humain (à tout le moins on se le fait croire)! Selon mes brèves recherches (😂) à la Commission de toponymie du Québec, nous aurions atteint le sommet du Mont de la Gloire, francisation de GloryH Mountain (là, ne me demandez pas d’où ça vient!!!). Plutôt que de revenir sur nos pas, nous suivons l’intuition de Marjorie pour nous faufiler en sous-bois sur des pentes très raisonnables avec un retour facile et amusant au stationnement (voir tracé). Là, c’est une journée de ski qui en valait le coup! Je fêterai ça dans ma van en solo avant le souper avec une Scoth Ale!!!!
En ce début de 2e journée, c’est clair que ce sera différent. La nuit n’a pas été froide et la température est au dessus du point de congélation dès le levé. Que fait-on? On se met rapidement d’accord sur le secteur du Macoun pour les mêmes raisons que la veille. Dès les premiers pas, c’est évident que les conditions seront différentes; on est au printemps et il est avancé! On quitte rapidement le sentier du Ernest pour louvoyer au gré de l’inspiration vers le Macoun en sous-bois et dans le champ de mammouth. Puis on grimpe sur le flanc du petit Macoun pour traverser la plaine qui le sépare du Macoun; on skie sur des plaques de gazon! Le nouvel objectif à ce moment est d’améliorer le tracé pour descendre vers le Ruisseau-du-Castor (voir ce parcours). Cette nouvelle version du tracé, la 3e est ma préférée. La descente est beaucoup plus douce et cette fois, la neige détrempée et lourde du printemps offre une expérience différente. La chaleur du soleil nous incite à prendre une longue pose dîner près d’un ruisseau déjà actif. On se croirait au mois de mai! On continue ensuite sur du terrain connu et roulant pour encore une fois, terminer dans le stationnement. Une autre superbe journée de ski, cette fois en conditions printanières!
Merci à Marjorie pour cette fin de semaine de ski ou il y aura eu de l’exploration afin de mieux connaître ces espaces magiques!
Fichier GPX pour votre GPS (Mont de la Gloire)
Fichier GPX pour votre GPS (Version 3 du Macoun et Ruisseau-du-Castor)
Belle fin de semaine de découverte dans une autre superbe vallée de la haute Gaspésie (Anse-Pleureuse), guidée par l’amie Hélène et aidé des tracés de Normand, Nelson et Eddy. Température glaciale le samedi et plutôt agréable dimanche. Des montées abruptes et soutenues, des vents forts sur les plateaux, des vues imprenables, des descentes qui auraient pu être grisantes avec des conditions de neige plus constantes. Les chemins d’accès d’éolienne nous ouvrent des secteurs très intéressant dont pour nous dimanche, le sommet du Mont-Louis (440 mètres). Encore tellement à voir dans ce secteur! Merci à Hélène et Marjorie!
Il y aura certainement un passage à l’été 2024 à vélo pour en explorer encore plus!
Je possède des skis de fond sans fartage, je n’ai pas besoin de rien faire!
Contrairement à la croyance populaire, ces skis exigent le même entretien que les autres. Le « sans fartage » signifie simplement que la semelle comporte une zone de propulsion ne nécessitant pas de fart de poussée. Il est donc important de nettoyer les contaminants accumulés (même pendant l’entreposage), de nourrir cette semelle afin de la protéger et qu’elle fournisse une glisse optimale. Vous pouvez vous assurer une saison de plaisir avec un minimum d’efforts.
L’idéal simplifié
Avant le début de la saison, effectuez un entretien complet (nettoyage et application d’un fart de glisse à chaud) ou laissez nous vous offrir un entretien professionnel pour 25$. Puis, après quelques sorties, débutez la maintenance en appliquant un fart de glisse liquide (voir vidéo plus bas) comme le Swix F4 ou Start Ultra Gel Glider. Lorsque vous partez en longue randonnée, apportez le pour corriger les problèmes causés par la neige qui colle sous vos skis.
L’acceptable et le minimum
Avant votre première sortie et fréquemment ensuite, appliquez (voir vidéo plus bas) un fart de glisse liquide.
Produit suggéré:
Start Ultra Gel Glider