Fichier GPX pour votre GPS
J’ai décidé de refaire cette boucle mais avec des ajouts pour une version 2. Voir plus bas.
Version 1
Boucle intéressante pour lancer notre saison. Notre point de départ était Sayabec mais si vous voulez un camp de base super intéressant, l’Auberge et Camping du Lac Malcolm est un incontournable dans le secteur. Les nouveaux propriétaires sont jeunes, sympathiques et très innovants! Nous avons adoré y camper. En la roulant en sens anti-horaire, on commence avec du plat puis une lente ascension vers le Lac Malcolm et St-Noel. L’ensemble sera assez forestier et champêtre. La Route de la Montagne après l’église de St-Moïse est abrupte et exigeante. Elle rétrécie pour devenir une piste de VTT qui nous ramènera sur la Route Otis pour quelques mètres avant de s’engager de nouveau dans une piste de VTT. On croisera quelques rangs avant de revenir vers le village de St-Cléophas (on pourrait varier en le contournant pour se rallonger un peu). Pour nous, la neige était encore présente en mai 2023. On redescend ensuite vers Sayabec sur asphalte tout en douceur.
Fichier GPX pour votre GPS (version 1)
Version 2
Cette version est aussi très intéressante! Mon point de départ a été St-Noel. Passage sur des sentiers de VTT et peut-être du privé. Soyez conscient. 44% gravier, 40% sentier VTT et 16% asphalte. La portion VTT se fait mieux en vélo de montagne mais c’est jouable avec un gravel bike.
Fichier GPX pour votre GPS (version 2)
5 ans plus tard et en solo cette fois, je ne me pouvais plus de refaire un petit voyage de FAT bike avec dodo sur la plage à Sainte-Anne-des-Monts. Les heures de marées étaient parfaites et la météo s’annonçait excellente: ce fut le cas! 30 kilomètres de plage en grande partie sablonneuse, 500 mètres de rocher près du phare de Cap-Chat, quelques ruisseaux à peine plus difficile à traverser, une journée de samedi (11 mai 2024) qui ne pouvait être complète sans un café chez Marie 4 poches et une bière au Malbord. Le souper se cuisine à l’abri du vent sur un perron avant de monter la tente sur la plage. Un mini feu sera très utile pour me garder au chaud dans l’attente de possible aurores boréales; j’ai pu voir un ciel mouvementé entre 22h et 23h30 mais rien de comparable à ce que j’ai manqué la veille.
Nuit froide mais mon sac de couchage, ma doudoune et mes bas de duvet me permettent de dormir confortablement. J’ai droit à un super levé de soleil et à une douce température pour déguster très lentement mon café et mon déjeuner; pas de stress, la marée descendante ne commencera à être à point que vers 9h. De Sainte-Anne à Cap-Chat, ça roule. C’est presqu’une autoroute! J’ai le plaisir de croiser les copains Jean-Louis A. et Robert D; on pique une jasette! La suite se pédale bien mais je décide de sortir à l’Anse-Blanche pour contourner la section difficile du phare. Je redescend sur la plage un peu plus loin. La brume se lève. La faim me tenaille et j’ai hâte d’arriver à la cantine Chez Tom à la halte de Capucins!!! Après le diner, reste juste à déshabiller mon vélo et le mettre sur le support derrière la voiture. Quelle belle aventure!!!
Incroyablement, je n’avais jamais pédalé les chemins de gravier derrière Cap-Chat. J’y retournerai. Je n’ai pas terminé mes recherches mais j’ai ici, un parcours de gravier très sportif; au moins 670 mètres d’ascension sur 32 kilomètres. Tout se roule avec des pneus de 32-35 mm SAUF une section de 1 kilomètre que j’identifie dans l’image suivante. 
Le cadeau suivant cette section difficile est une vue imprenable sur le massif du Mont-Logan! Le parcours offre 60% de gravier, 22% d’asphalte et la section boueuse, elle, environ 18% (ne me brassez pas avec les pourcentages SVP!!!!). Ça mérite d’être essayé!
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Variation sur le même thème, avec quelques kilomètres de plus, on roule autour du Bic, St-Eugène de Ladrière et St-Fabien en traversant le Parc du Bic. Cette fois aussi, on évite au maximum les routes achalandées. Les quelques kilomètres sur la route 132 montrent bien pourquoi; impossible de les éviter mais tout le reste compense amplement! L’arrière pays au Bas-St-Laurent est champêtre et offre des montées raisonnables mais intéressantes. La traversée du Parc du Bic, bien qu’en gravier, se roule avec un vélo de route et nous plonge dans un environnement forestier varié et un calme bienvenu! Le 27 avril est un peu tôt et comme nous vous risquez de devoir passer sur la neige en cette période! Sinon, c’est juste du beau!!!! Merci à Chantal pour l’accompagnement et son tracé!
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Dans le doute pour la couverture neigeuse, une balade au Mont de l’Aigle, c’est une valeur sure!!! Pour plus de détails sur ce secteur, cliquez ici. La vue sur les Albert Sud, Hog’s Back, Lyall, Pic Sterling, Vallières, etc est à couper le souffle, l’ascension est douce et la descente amusante. Nous avons eu droit à une neige de printemps et presque 10C au thermomètre au retour aux voitures. Merci à Hélène, Marjorie et Clémence pour la belle journée!
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Autre petit voyage prévu dans le secteur du Parc national de la Gaspésie – Réserve Chic-chocs, cette fois en compagnie des amies Carole et Renaude et sans but précis à l’origine. MAIS l’annonce de l’ouverture de la barrière au bas de la route 14 a grandement inspirée mes deux amies. Elle m’ont proposé d’explorer un secteur rendu accessible; très bonne idée qui aurait été excellente si elle venait de moi 😂. Nous tenterons d’approcher deux petites montagnes. Nous avons un projet! Il faut remercier Chantal Q. qui nous a tracé rapidement 2 ascensions potentielles via Garmin Basecamp pour nous aider.
À notre départ du CDS, la température est à peine sous le point de congélation. On monte sur la 14 asphaltée (accès pour le secteur des Mines Madeleines). On stationne les véhicules et notre équipée de 3 skieurs montent sur les skis. Après environ quelques kilomètres, nous prenons une petite pose avant de nous engager dans un vieux chemin qui devrait nous permettre de monter. Surprise, 3 autres skieurs nous rejoignent! Nous avions parlé de notre projet à l’ami Jean-François qui a convaincu ses amis François et Yves-Thomas de nous rejoindre. C’est encore mieux ainsi! On avance doucement sur quelques centaines de mètres sur le flanc de notre première montagne mais le sentier disparaît et la forêt est trop dense pour tenter quelque chose d’intéressant. On reviens sur nos pas dans l’idée de tenter le 2e tracé que nous avons vers l’autre montagne.
Après un moment, François est inspiré. Il trouve que la forêt est moins dense et que ça mérite d’essayer ce versant; il a raison! Il a fait une lecture impressionnante de la forêt et il nous a permis de monter tout en douceur jusqu’à ce que l’on va appeler un col; un petit replat entre les deux montagnes. La journée est bien avancée, il est l’heure de redescendre. La neige porte bien et a une densité qui permet de s’amuser et de faire de beaux virages à travers la forêt mature. On s’amuse! Puis, on reprend la route 14 pour le retour vers nos véhicules.
Merci à Carole, Renaude, Jean-François, François et Yves-Thomas pour cette super journée!
L’hiver 2024 est plutôt particulier (restons positif)! En ce début mars, la logique aurait été pour cette fin de semaine de sortir le vélo mais l’espoir de faire encore du beau ski était trop fort. La Vélo Spécialité mobile a donc pris la route à une heure raisonnable le samedi direction du Parc national de la Gaspésie. Après une jasette avec les préposés du CDS et ensuite avec ma partenaire de ski pour ce voyage, le secteur le plus prometteur est celui du Ernest-Laforce – JA-Pelletier – Macoun à cause de l’altitude, des secteurs boisés et des quelques centimètres de neige tombés.
Pour cette première journée, on monte en direction du Ernest, on le contourne et on fait le sommet du JA-Pelletier. Les conditions de neiges sont très variables en terrain ouvert et les sommets sont presque dénudés. Si on veut un peu de plaisir, l’option la plus logique est de se diriger en zone forestière. On se faufile doucement en crêtant vers un autre petit sommet à l’est, celui-ci sans nom, malgré ses 780 mètres d’altitude, et coup de chance, c’est l’hiver! La neige nouvelle est sèche et juste assez présente pour nous donner de la glisse et du contrôle! C’est vraiment agréable. Le retour vers le stationnement, en sous-bois, se fait trop rapidement; trop courte journée de ski!
Il me semble qu’il y avait un vieux chemin derrière la toilette… Bon moment d’aller voir et de tester mon nouveau GPS! Il y a bien un vieux chemin qui est même très facilement praticable sur une bonne distance puis devient intermittent mais acceptable jusqu’à ce qu’on le perde. Un peut triste de virer de bord… En étudiant le GPS et les applications de nos téléphones, on réalise que nous sommes seulement 60 mètres plus bas que le sommet (800 mètres) d’une autre petite montagne apparemment sans nom. La forêt n’est pas trop dense et assez rapidement, avec quelques manoeuvres plus ou moins gracieuses, nous déposons nos skis sur une cime jamais atteinte par l’humain (à tout le moins on se le fait croire)! Selon mes brèves recherches (😂) à la Commission de toponymie du Québec, nous aurions atteint le sommet du Mont de la Gloire, francisation de GloryH Mountain (là, ne me demandez pas d’où ça vient!!!). Plutôt que de revenir sur nos pas, nous suivons l’intuition de Marjorie pour nous faufiler en sous-bois sur des pentes très raisonnables avec un retour facile et amusant au stationnement (voir tracé). Là, c’est une journée de ski qui en valait le coup! Je fêterai ça dans ma van en solo avant le souper avec une Scoth Ale!!!!
En ce début de 2e journée, c’est clair que ce sera différent. La nuit n’a pas été froide et la température est au dessus du point de congélation dès le levé. Que fait-on? On se met rapidement d’accord sur le secteur du Macoun pour les mêmes raisons que la veille. Dès les premiers pas, c’est évident que les conditions seront différentes; on est au printemps et il est avancé! On quitte rapidement le sentier du Ernest pour louvoyer au gré de l’inspiration vers le Macoun en sous-bois et dans le champ de mammouth. Puis on grimpe sur le flanc du petit Macoun pour traverser la plaine qui le sépare du Macoun; on skie sur des plaques de gazon! Le nouvel objectif à ce moment est d’améliorer le tracé pour descendre vers le Ruisseau-du-Castor (voir ce parcours). Cette nouvelle version du tracé, la 3e est ma préférée. La descente est beaucoup plus douce et cette fois, la neige détrempée et lourde du printemps offre une expérience différente. La chaleur du soleil nous incite à prendre une longue pose dîner près d’un ruisseau déjà actif. On se croirait au mois de mai! On continue ensuite sur du terrain connu et roulant pour encore une fois, terminer dans le stationnement. Une autre superbe journée de ski, cette fois en conditions printanières!
Merci à Marjorie pour cette fin de semaine de ski ou il y aura eu de l’exploration afin de mieux connaître ces espaces magiques!
Fichier GPX pour votre GPS (Mont de la Gloire)
Fichier GPX pour votre GPS (Version 3 du Macoun et Ruisseau-du-Castor)
Belle fin de semaine de découverte dans une autre superbe vallée de la haute Gaspésie (Anse-Pleureuse), guidée par l’amie Hélène et aidé des tracés de Normand, Nelson et Eddy. Température glaciale le samedi et plutôt agréable dimanche. Des montées abruptes et soutenues, des vents forts sur les plateaux, des vues imprenables, des descentes qui auraient pu être grisantes avec des conditions de neige plus constantes. Les chemins d’accès d’éolienne nous ouvrent des secteurs très intéressant dont pour nous dimanche, le sommet du Mont-Louis (440 mètres). Encore tellement à voir dans ce secteur! Merci à Hélène et Marjorie!
Il y aura certainement un passage à l’été 2024 à vélo pour en explorer encore plus!